好吃又好玩的美食拼圖—來台灣,迺夜市

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說到台灣,許多人會聯想到這是個盛產水果的王國、大小商店林立的便利之都、各地充滿不同風情的福爾摩莎。在台灣不大的土地面積上,擁有兩千三百多萬的人口,而這裡充斥的吃喝玩樂可不少。空間上來說,我們充分的運用這片土地,各式各樣的商店展售著滿足人們不同需求的商品;同時有越來越多的複合式空間,讓人們在一個地點就能達到多樣的目標:購物、閱讀、觀光、飲食,一次到位。時間上來說,台灣像是個不夜城好吃又好玩的美食拼圖—來台灣,迺夜市。早晨八點、下午五點、晚間十一點、凌晨三點,都有為了不同族群點燈營業的店家。只要你願意,任何時間點想吃到一碗熱騰騰的牛肉麵,大抵都不是問題。

在這之中,台灣有一項越來越為興盛的「消遣」—逛夜市。夜市,台灣人愛逛,許多從國外來台的觀光客也愛。它可說是充分利用時間空間的最佳例子。台灣的夜市有些什麼特色,也許大家一時也說不上來,就是東西特別多、五花八門,吃的玩的喝的看的樣樣不少。一 邊吃魚丸、一邊射飛鏢;一邊喝冰砂、一邊聽著叫賣的攤販妙語如珠。不是人人都愛這種汗珠交雜著鼎沸人聲的環境,但這是人人都有的共同回憶,很有台灣味。

你知道嗎?這片小小的土地上,有超過五十幾個夜市。而每年都有網羅民眾意見所選評出的喜愛度排行榜,在在顯現出台灣民眾對於夜市的熱情。從北到南,幾乎每個縣市都有著耳熟能詳且特色不同的夜市:例如,基隆廟好吃又好玩的美食拼圖—來台灣,迺夜市口夜市有最新鮮的海鮮料理任君挑選。生魚飯、紅燒鰻羹、旗魚黑輪都是基隆廟口夜市的首選小吃。台北士林夜市能吃能玩也能購物,看小吃店店員中英日韓各種語言都能應答,受國外觀光客的喜愛程度可見一斑。堪稱有最大腹地的台中逢甲夜市,除了美食林立,更是許多創意料理的發祥地。在美食一級戰區的台南,其中花園夜市是台南規模最大的流動夜市。台南風味的銅板美食、鹹中帶甜的道地風味,是花園夜市的最大特色。高雄瑞豐夜市如同高雄棋盤狀的街道規劃,這裡的攤販一行一行羅列;買衣服、吃美食、玩遊戲區域分明,在這邊都能一次滿足。連接著墾丁大街的夜市,有豐富的海鮮美食、南洋風味,站著吃、坐著吃、邊走邊吃任君挑選,是墾丁的遊客必走的行程之一。來宜蘭羅東夜市可以吃到許多宜蘭的當地小吃,包含三星卜肉、宜蘭蔥餅等等,走訪一趟就能充分感受宜蘭的在地風味。

好吃又好玩的美食拼圖—來台灣,迺夜市
有人會說夜市是台灣的一種文化,其實它更像是一種生活的縮影。在一天的辛勤勞累之後,我們期待娛樂、期待美食、期待一種自在隨興的步調。在這裡,我們擁抱各地的小吃、不同的文化、多種的風情。夜市裡,很可能就會吃到充滿家鄉味的美食;北中南東、義法美日,在這裡都是屬於台灣的味道。

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La Tomatina

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Savez-vous ce qu’est la Tomatina ? Non ? Alors laissez-moi vous présenter l’une des fêtes espagnoles les plus populaires. Cette fête d’intérêt touristique international depuis 2002 est célébrée le dernier mercredi d’août dans la commune de Buñol, située dans la province de Valence. Cette ville, qui compte un peu plus de 9 000 habitants, reçoit chaque année plus de 45 000 visiteurs lors des fêtes patronales de la ville.

La Tomatina est une bataille au cours de laquelle les participants se lancent des tomates. Quelques jours auparavant, des camions chargés de tomates provenant de Xilxes (où elles sont cultivées spécialement pour cette occasion étant donné que le goût de ces tomates ne permet pas qu’elles soient consommées) font leur entrée dans la ville. Les commerçants et les habitants se trouvant dans les rues où a lieu la Tomatina se lèvent très tôt ce jour-là pour barricader les portes et fenêtres de leurs commerces et maisons avant la grande bataille. Vers 10 heures du matin a lieu le premier évènement : le palo jabón. Il s’agit d’un poteau en bois (mât de cocagne) badigeonné de savon sur lequel il faut monter afin d’attraper un jambon. Le signal de début de la Tomatina est donné une fois que le jambon est décroché (généralement vers 11 heures). Six camions chargés de distribuer les 150 tonnes de tomates passent lentement parmi les participants assemblés le long du parcours. Les tomates mûres sont lancées par les personnes montées sur les camions jusqu’au moment où ces derniers renversent leur contenu afin que les participants se jettent dans la montagne de tomates ou s’approvisionnent « en munition ».La Tomatina

L’intense bataille prend fin une heure plus tard. Peu après, le nettoyage des rues complètement « peintes » en rouge commence à coup de jets d’eau. Beaucoup de participants en profitent également pour faire une première toilette.

Il est intéressant de souligner que sur les 20 000 participants, seulement 8% sont espagnols, le reste provient en grande partie d’Australie, du Japon, de Grande Bretagne et des États-Unis.

Si vous envisagez de participer à la Tomatina de cette année, voici quelques règles fondamentales de sécurité afin que la fête continue d’avoir lieu sans aucun incident :

  • Il est rigoureusement interdit de lancer tout type d’objet pouvant provoquer un incident ou accident. Seules les tomates peuvent être lancées !
  • Les tomates
    doivent impérativement être écrasées avant d’être lancées afin d’éviter toute blessure.
  • Il est recommandé à tous les participants de porter des lunettes de protection (de natation, de plongée, etc.) et des gants.
  • Il est recommandé de faire très attention au passage des camions transportant les tomates.
  • Il est interdit de tirer sur les vêtements des participants.
  • Il est recommandé de suivre les instructions du personnel de sécurité.

Voici à présent quelques conseils utiles : La Tomatina

  • Il est recommandé d’arriver tôt au village le jour de la Tomatina : l’accès au centre-ville est fermé aux voitures à 7 heures du matin.
  • Il est recommandé de stationner votre voiture en dehors de la ville, par exemple dans la zone industrielle.
  • Pour des raisons de sécurité et face au succès de cette célébration, seuls les participants munis d’une entrée peuvent accéder au village. Il est donc recommandé d’acheter votre entrée le plus tôt possible ; l’accès étant limité à 20 000 personnes. La ville étant petite et les hébergements peu nombreux, il est recommandé de rechercher un hébergement le plus tôt possible. Au cas où les hôtels sont complets à Buñol, l’alternative est de séjourner à Valence qui se trouve à 38 km. Buñol est desservi tant par autocar que par train.
  • Si vous souhaitez prendre des photos, il est recommandé d’utiliser un appareil photo résistant à l’eau et aux chutes. Vous êtes également informé que toute personne essayant de prendre une photo devient automatiquement une cible. Vous êtes averti !
  • Il est recommandé de porter des vêtements confortables et usagés car si la tomate est bonne pour la peau, elle ne l’est pas pour les vêtements. Pensez également à porter des chaussures fermées et qui tiennent au pied (par exemple, des baskets).

Le conseil le plus important est de profiter, de passer une agréable journée, de s’amuser et de s’imprégner des traditions et des fêtes célébrées dans chaque pays. Vivre de nouvelles expériences et partager la culture locale permet de s’enrichir et de faire un pas en direction de la compréhension et de la tolérance.

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Local Concept: once contratos laborales indefinidos y una historia de éxito

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Los contratos precarios, las escasas oportunidades de progreso y la inestabilidad laboral son algunos de los obstáculos que deben sortear los jóvenes a la hora de desarrollar su carrera profesional en la actualidad. Paradójicamente, en este contexto, encontramos empresas de origen extranjero que en plena crisis económica emprenden su andadura con contratos de trabajo indefinidos para sus trabajadores y ofertas de empleo muy atractivas.

Un buen ejemplo de eContratossta realidad es la empresa estadounidense Local Concept, que aterrizó en tierras españolas hace casi tres años.

«Local Concept apostó por mi potencial con un contrato indefinido desde el principio». Rebeca Arranz, traductora de 24 años.

Esta es una de las esperanzadoras historias de esta empresa que, frente a la crisis y lejos de sacrificar las condiciones de sus trabajadores, apuesta por invertir en su formación y motivación. Sin duda alguna, ese es uno de sus grandes valores diferenciadores.

Un compromiso constante, movilizador y global

En el año 2013, con una España gravemente azotada por la crisis económica, el fundador y CEO de Local Concept, Michael Cárdenas, decidió apostar por nuestro país para abrir mercado e inauguró una de sus oficinas en la capital, Madrid.

Con sede principal en San Diego —y otra oficina en Taipéi—  y compuesta por un equipo joven, internacional, dinámico, exigente y perfeccionista, Local Concept es una de las empresas de consultoría lingüística más competitivas y profesionales del panorama europeo.

Tanto es así que casi tres años después de su apertura, Local Concept Madrid ya ha creado once puestos de trabajo indefinidos. Se trata de la oportunidad perfecta para casi una docena de jóvenes españoles, que están consiguiendo posicionar a esta empresa de consultoría lingüística entre las líderes del sector. Contratos

Con más de 30 años de trayectoria, Local Concept se consolida en España gracias al elevado nivel preparación de los profesionales españoles, el enfoque técnico y, lo que es más importante, el firme afán por avanzar y superarse.

«Me apasionó la actitud española y me di cuenta de que el emplazamiento no era tan importante como el personal elegido para emprender esta emocionante aventura», asegura Michael, cacereño de cuna aunque afincado en San Diego desde hace más de 30 años. «Empresas de traducción hay miles, pero organizaciones que se comprometan a aplicar un descuento si no estás completamente satisfecho con el servicio al cliente, solo una: Local Concept», prosigue.

A pesar del panorama político inestable y la tasa de desempleo, que ha alcanzado un 21% en el último trimestre y ha sumado 11.900 desempleados más, sigue habiendo multinacionales como Local Concept que continúan apostando por generosas condiciones laborales que fomenten la competitividad de sus trabajadores.

Michael Cárdenas es consciente de su valor diferenciador y añade: «De todas las empresas que conozco, solo Local Concept celebra su 30º aniversario reuniendo en una fiesta por videoconferencia a todo el equipo de Asia, Europa y América».

Errar es humano, globalizar es divino.

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Transformar para crear: transcreación, ¿qué es?

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El concepto «transcreación» está muy en boga dentro del sector de la traducción. Si echamos un vistazo a los estudios, artículos y círculos profesionales más recientes, su incuestionable popularidad la ha convertido en un ingrediente indispensable del cóctel de modalidades o especializaciones en traducción.

En cambio, es posible que en los últimos años hayas oído hablar cada vez con más frecuencia de la transcreación y aun así no tengas muy claro en qué consiste. Con toda probabilidad, si eres un curioso lector ajeno al sector, a estas alturas, ya te habrás hecho la pregunta de rigor: ¿qué es eso de la transcreación?

CWLa transcreación consiste en llevar la traducción más allá de las palabras, acercarse a las antípodas de la literalidad y convertir una traducción en una nueva obra que conserve la intención del original pero integre elementos nuevos y diferenciadores. Dicho de otra manera, la transcreación se encarga de conseguir que el mensaje provoque las mismas reacciones en lectores de culturas distintas.

Pero, ¿acaso no es este el fin de la traducción per se? A decir verdad, sí. En Local Concept creemos que toda buena traducción debe someterse a un proceso de adaptación cultural —se debe evitar que parezca una traducción—. Por ese motivo, apostamos por crear una versión del producto que se adapte al mercado objetivo. Sin embargo, esta fase de creación no juega el mismo papel en los sectores más técnicos y en los más creativos.

En la práctica, cuando se habla de transcreación, se suele asociar a la traducción publicitaria, a la que dedicamos un artículo el pasado mes de abril. Y es que transcrear es adaptar una creación previa para que resulte más atractiva para el nuevo receptor, que es lo que hacemos en la traducción para fines publicitarios.

Si retomamos el anuncio de Dacia Duster del que hablábamos en el artículo de traducción publicitaria, nos encontraremos ante un caso donde la transcreación habría podido resultar una perfecta aliada. Si se hubiera optado por crear una letra alternativa en la versión emitida en España o incluso una nueva canción con un mensaje completamente diferente, quizá se habría reproducido más fielmente la intención original.

Otro ejemcreate-865017_960_720plo de transcreación lo encontramos en el famoso I’m loving it de McDonald’s, que en francés de Canadá ha pasado a ser C’est ça que j’m, una estrategia de traducción y transcreación donde se juega también con la fonética.

Aunque los casos en publicidad son muy abundantes, también podemos ver ejemplos de transcreación en el área de la localización de videojuegos, la traducción audiovisual, la poesía o el marketing.

Hacer transcreación es una tarea compleja que exige, además de las competencias de cualquier traductor, desarrollar un perfil creativo que nos deja a medio camino entre lingüista, mediador cultural y publicista. Además, es preciso conocer perfectamente el producto que estamos traduciendo, la empresa o entorno de origen y el colectivo al que pretende llegar.

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Taiwan: a Bridge to East-Asian markets

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Eight years ago, Local Concept kick-started its global expansion by opening a Branch- office, and has maintained a strong presence in the region. In Asia, Taiwan is known for its developed economy, consolidating democracy, and equal society. It is also the home of globally recognized technology brands like Acer, Asus and HTC. Unfortunately, many people in the West are unable to pinpoint Taiwan’s geographic location, predominant industry, or even the main languages spoken. Taiwan remains a largely unknown destination that is often overshadowed by its neighbors —China, Japan and Korea. And yet, Taiwan possesses qualities that make it a perfect destination for business, commerce, and even tourism.

Local Concept-Taipei offers you 4 reasons why Taiwan should be considered the bridge that introduces Western businesses into East Asia.

  1. Taiwan, at the heart of Asia

Taiwan

The island is located between major business hubs like Tokyo, Shanghai and Hong Kong, and the emerging markets in Southeast Asia. Taoyuan International Airport is the largest airport of Taiwan, and the main international hub for China Airlines and EVA Air connecting to Australia, the United States and Europe. Taiwan allows a great number of nationalities to visit the island for up to 90 days without a visa, thus facilitating the flow of travelers, visitors and business people that want to eliminate visa requirements from their tight travel schedules.

Thanks to the modern, convenient and efficient High Speed Rail, it is now possible to travel from north to south of the island in as little as 96 minutes —a journey that, by bus, would take up to 6 hours. Business people can visit their factories in the south during the day and go back to Taipei in time to enjoy a great dinner in the city. Convenience, after all, is Taiwan’s number one priority.

  1. Multicultural, multilingual

TaiwanTaiwan is an island of cultural contrasts. Colonized by many throughout the centuries —the Dutch, the Spaniard, the Japanese and the Chinese— Taiwan has a genuine Western feeling that foreigners won’t find in other parts of Asia. Taiwanese people are fascinated by American culture, and yet preserve Chinese culture, traditions and religion more purely than in Mainland China. Buddhist and Taoist temples are found in every corner of the city, and it is common to see people of all ages praying and making offerings to the gods outside houses, shops and even in their workplaces.

Mandarin Chinese is Taiwan’s official language, and it is nowadays considered the native language of most people. The majority of Taiwanese people are in fact bilingual, as the native Taiwanese Hokkien (also known as Taiwanese Minnan) is widely spoken all throughout the island. In addition, Taiwanese are considered substantially more fluent in English than their Japanese, Korean and Chinese neighbors.

The cultural and linguistic exposure to the West is a valuable asset for Taiwan. The island has now taken over the role of the Bridge to enter the Chinese and other neighboring markets, acting as a gateway to Asia for Westerners that wish to eliminate cultural shock, potential legal obstacles and communication problems.

  1. Affordable quality

The socioeconomic development of Taiwan in the 1970s and 1980s resulted in the establishment of a strong, well-educated and equal middle-class, as well as the development of quality infrastructure and resources. Nowadays, transportation in Taiwan is outstandingly convenient and affordable; rent is —at least for American and European standards— reasonably priced; and other services such as food and entertainment are at the level of the most developed countries in the region. Not only that, but also considering how highly educated and qualified Taiwanese workers are, the cost of human resources in Taiwan is arguably lower than in other countries in Asia. Overall, Taiwan maintains a desirable balance of quality resources at affordable prices.

  1. Ilha Formosa

TaiwanThe sociocultural context of a country can also be a deciding factor for companies looking to settle in a different region. Taiwan charms foreigners with its rich culture, stunning landscapes, convenience and safety.

Taiwanese are inherently friendly people. Even with language barriers, the islanders will always go out of their way to help you and make you feel welcome. Their organized mentality reflects all aspects of life, from the surprisingly efficient government agencies, to the perfect lines formed for any occasion —waiting for the train, to sample food in the night markets, or for the opening of the latest department store.

Taiwan is also a foodie country. For Taiwanese people, tasting new foods and trying new restaurants is a main social activity. Whether it is one of the many night markets on the island, a new hip Western restaurant, or a local noodle shop, the culinary experience of Taiwan is as multicultural as the island.

Despite not being a main tourist destination in Asia, Taiwan should be considered an ideal destination for your visit. In a week’s time, tourists can visit skyscrapers like the Taipei 101, and take a hike in the stunning natural parks and mountain areas; blend with the locals in the bustling night markets of the city or enjoy the solitude of the scarcely populated beaches of the East coast; visit temples, pagodas, take a dip in the hot springs, shop the fish markets and shopping malls; drink tea, sing in a karaoke room, or drink rice wine with aboriginal people.

Taiwan

On top of all that, Taiwan is one of the safest places in the world. According to the Economist’s Safe Cities Index of 2015, Taipei ranked 13th in overall security, and was the 5th safest country in the world in personal security.

For some, Taiwan is just that place where childhood toys were made and for others it is a minor tourist destination in Asia. However, for the great international community living here and businesses like Local Concept that chose this island as their home in Asia, Taiwan is neither of those. Taiwan is Taiwanderful.

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Lo que no debes decirle a un traductor

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El traductor, ese gran desconocido

Quizá haya quienes piensen en el traductor como un académico o un escritor ilustrado, con una larga barba blanca que, postrado detrás de su escritorio de roble con su pluma y su tintero como única compañía, escribe los versos de la antigua Vulgata.

Puede que otros piensen que ser traductor es una profesión en vías de extinción, que los traductores son cosa del pasado y que el trabajo humano quedó relegado al olvido con la llegada de las nuevas tecnologías. También habrá quien conciba al traductor como esa voz que repite en español lo que dice Obama en las noticias (es decir, lo que en el sector se conoce con el nombre de «intérprete»).

A decir verdad, el perfil actual del traductor como profesional es bastante diferente. Cuando nos ponemos retóricos, bien podríamos encajar en la imagen de un Shakespeare con Mac y normalmente somos personas curiosas con una predilección especial por conocer nuevos idiomas y culturas, viajar y aprender continuamente.

Desgraciadamente, la visibilidad de la profesión del traductor fuera del sector es todavía limitada. Si eres traductor, probablemente todo lo anterior te haya resultado familiar. Si no lo eres pero tienes algún pariente o amigo que lo sea, quizás también. Si ninguno de estos dos casos es el tuyo, entonces puede que te parezca buena idea seguir leyendo y tomar nota de lo que no debes decirle a un traductor.

  1. Cuando tu interlocutor solo escucha el final de la frase. Un clásico:

  • ¿Qué estudias/estudiaste?
  • (Lo que tú dices:) Traducción e Interpretación (Lo que tu interlocutor escucha:) Nananana e Interpretación.
  • Arte Dramático, ¿no? Pues qué guay, ¡ya te veremos en alguna peli!
  1. «Qué más da cómo se escriba, si me han entendido».

TraductorSi hay algo que todos los traductores tenemos en común es nuestro cariño por la lengua y nuestro afán por perfeccionarla en todo momento y abogar por su buen uso. Desde la correcta puntuación del saludo en un correo electrónico hasta el anuncio de una marquesina de autobús; para el traductor, cuidar la expresión es un requisito prioritario e indiscutible.

  1. «¿Traductor? Pues ahora con Google Translate tendréis menos trabajo. Además, casi todo el mundo habla idiomas, ya nadie necesita traducir».

¡Cuidado! Este comentario puede provocar reacciones desmedidas: miradas con desdén, ojos en blanco, levantamientos de cejas o similares.

Y es que si bien la revolución tecnológica es innegable, detrás de cada traducción existe una verdadera cadena de trabajo especializado que lleva a cabo un equipo humano profesional. Las tecnologías son una parte importantísima de nuestro trabajo pero han de ser de calidad y utilizarse como una herramienta complementaria.

  1. Ah, ¿eres traductor? ¿Y qué libros has traducido?

La lógica es simple: si eres traductor, traduces libros. ¿Qué otra cosa íbamos a traducir? En cambio, si nos paramos a pensar, todo se traduce: manuales de instrucciones, software, contratos, noticias, campañas publicitarias, películas, cursos de formación…

  1. «Mi prima estuvo (completar libremente con: “de Erasmus”, “de au pair” o similares) en Irlanda y ahora también es traductora», o su análogo «¡Anda! Pues yo también traduzco en mi trabajo. Bueno, cuando no tengo que trabajar».

Como en cualquier sector, especializarse requiere un esfuerzo. Por eso, no es de extrañar que el traductor conteste a este inocente comentario frunciendo el ceño o con un gesto de desaprobación. Para poder traducir de forma profesional es preciso disponer de un conocimiento lingüístico y cultural muy extenso.

  1. «¿Y solo traduces?»

TraductorUna respuesta común y que nos saca bastante de quicio. El lingüista, «además de traducir», debe documentarse sobre el cliente y sobre el texto que está traduciendo, resolver imprevistos informáticos, poner al día sus glosarios, coordinarse con otros compañeros, revisar contenidos traducidos por otros lingüistas y otras muchas tareas.

Pese a todo, siempre es agradable que tu trabajo resulte interesante para otras personas y, por suerte, muchos de estos comentarios suelen ser fuente del desconocimiento general y a menudo se resuelven con algo de información acerca del sector. Además, afortunadamente, también recibimos muchas críticas positivas y comentarios de admiración por nuestro trabajo.

Desde mi experiencia, lo mejor es tomárselo con humor y ofrecer más visibilidad sobre nuestra profesión a todo el que sienta curiosidad por ella.

*Fuente imagen destacada: http://betanews.com/2015/01/07/the-battle-of-the-translators-man-vs-machine/

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Parte II. Herramientas de control de calidad

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Tal y como se mencionó en la entrada publicada el pasado 7 de abril aquí, la calidad se ha convertido en una especie de piedra angular en torno a la cual giran todos los servicios –traducción incluida–. En esa entrada se esbozó grosso modo la definición de calidad aplicable a nuestro sector, y hoy detallaremos algunas de las herramientas que usamos en Local Concept para poder ofrecer un producto seis estrellas.

Calidad en el proceso de selección

Desde mi punto de vista, creo que no existe mejor herramienta de calidad que el simple hecho de contar con un lingüista dotado del conocimiento especializado en la materia. Por ello, el proceso de selección es clave a la hora de asegurar la calidad en cualquier proceso lingüístico.

Dicho conocimiento especializado –o Subject Matter Expertise como se conoce en inglés– es el primer peldaño en la escalera cualitativa; y de ahí la importancia de contar con un traductor y un revisor expertos en ingeniería aeronáutica para tu proyecto de búlgaro, y no en ingeniería mecánica, por muy similares que parezcan a primera vista.

Filtros de calidad propios

El segundo paso en esta escalera cualitativa sería el propio filtro de calidad que cada lingüista se establece para todos sus proyectos. Como dice el refrán, «cada maestrillo tiene su librillo», así que no hay mejor «revisor» que uno mismo. En este sentido, y a pesar de lo absurdo del ejemplo, si uno sabe que suele escribir empelado en lugar de empleado, deberá prestar más atención a este tipo de despistes.

CalidadHerramientas de control de calidad

Tras llevar a cabo los filtros personales comentados en el párrafo anterior, pasaríamos al tercer peldaño de nuestra escalera: las herramientas de control de calidad. Cada proveedor lingüístico es un mundo, y los métodos y procesos difieren –o quizás no tanto como pensamos– de unos a otros. A continuación enumeramos algunos de los más comunes.

Indicadores de calidad

Suelen ser tablas en formato Excel basadas en algoritmos matemáticos –más o menos– justos en función de un número determinado de palabras; contienen una explicación de la tipología de error que un revisor se puede encontrar, así como la gravedad de los mismos; y suelen presentar un resultado final del tipo aprobado/suspenso. Útiles en determinados proyectos, aunque en ocasiones algo ineficaces para que el traductor o revisor aprenda de esos errores y mejore su faceta lingüística.

ApSIC Xbench

Software con versión gratuita y de pago que todo traductor debería incorporar a su modus operandi. Muy útil en lo referente a despistes, incoherencias en el texto traducido, dobles espacios, palabras repetidas, incoherencias terminológicas respecto de un glosario aprobado, formato, cifras o etiquetas, entre una infinidad de opciones personalizables. Y con la posibilidad de exportar un informe para brindar retroalimentación. Un indispensable.

QA Distiller

Según muchos expertos en el sector, la herramienta más avanzada en revisión de textos gracias a su elevado nivel de adaptación. Además de todas las opciones enumeradas en la herramienta anterior, cuenta con la ventaja de poder modificar los archivos directamente desde su interfaz y solventar múltiples errores en lotes, ahorrando tiempo en abrir y cerrar documentos bilingües. Otro indispensable.

2nd Source QA

the-subject-matter-expert-advantageAdemás de ciertos trucos que nos guardamos en la manga para mantener la calidad (¿acaso Coca Cola reveló su receta?), en Local Concept contamos con un filtro adicional en todos nuestros proyectos.

Nuestro personal del departamento de Talent Liaison, se encarga de elegir de forma aleatoria cualquier proyecto en el que se haya colaborado y someterlo a la revisión de un tercer lingüista no implicado en el proyecto. Se trata de una revisión objetiva basada en una serie de parámetros bien definidos en función del proyecto cuyos comentarios son reenviados al traductor o revisor para su análisis y futura aplicación.

Te gustará saber que el mes de mayo nuestro porcentaje de aprobados en estas revisiones independientes fue del 89%. ¡Lo olvidaba! Nuestros traductores internos también se someten a este 2nd Source QA. La calidad no entiende de tratos preferentes.

Errare humanum est…

En Local Concept, creemos que la traducción es una ciencia humana, en el sentido más literal de la palabra. Por ello, somos conscientes que todo lingüista tiene el derecho a equivocarse. Pero como ocurre en la vida, hay errores y errores. Errores aceptables serían no haberse cerciorado de que dos documentos del mismo proyecto estaban estrechamente relacionados; por el contrario, inaceptable sería un error ortográfico o un error gramatical, sobre todo teniendo en cuenta la gama de herramientas actuales que solventa este tipo de «despistes».

…sed perseverare diabolicum

Ahora bien, si decidimos que la retroalimentación recibida siempre es negativa y nunca constructiva, pocas veces surtirá el efecto deseado. Desde Local Concept, creemos que el hecho de proporcionar –y recibir– este tipo de cometarios es un proceso sin principio ni final: empieza por nuestros clientes y sigue por nuestros lingüistas (o viceversa), pasando por los propios empleados de nuestras tres oficinas. Un círculo que nos hace mejorar y del que intentamos aprender en cada ocasión. De lo contrario, Cicerón tendría razón, y seguiríamos perseverando en el error.

Hoy hemos visto algunas de las herramientas que usamos en el sector. Sin embargo, la calidad no acaba aquí; si estás impaciente por conocerla de primera mano, ¿por qué no nos contactas?

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Destinos de vacaciones originales para amantes de los idiomas

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Con el verano a la vuelta de la esquina y los termómetros subiendo a gran velocidad, comienza la búsqueda de destinos para disfrutar de nuestros ansiados días de vacaciones. Aunque la oferta de destinos vacacionales es inmensa y hoy en día hay opciones para todos los bolsillos, la mayoría solemos ir a parar a los mismos lugares de todos los años. Si estás falto de ideas y este año prefieres hacer algo diferente, no te pierdas esta selección de destinos originales que tienes que visitar si amas los idiomas y la lectura como nosotros.

–       Llanfairpwllgwyngyll*

No, no se nos ha estropeado el teclado del ordenador. Este es el nombre de un pequeño pueblo al norte de Gales, en la isla de Anglesey, que presume de tener uno de los topónimos más extensos del mundo (58 caracteres). Al parecer, este curioso nombre en galés hace referencia a la ubicación de la pequeña Iglesia de St. Mary, y amplió su longitud en el siglo XIX como reclamo para atraer turismo e impulsar el comercio de la región.

Si quieres hacerte una foto para sorprender a todos tus amigos en la estación de tren con el nombre completo, «Llanfairpwll-gwyngyllgogerychwyrndrob-wllllantysiliogogogoch», no te puedes perder este destino tan curioso.

*Aquí tienes un ejemplo de cómo pronunciarlo:

–       Distrito de Beitou (Taipéi)

En este distrito al norte de la cuidad de Taipéi, nuestros compañeros de Local Concept en Taiwán pueden presumir de tener unas de las bibliotecas más bonitas del planeta. La Biblioteca Pública de Taipéi en Beitou tiene la peculiaridad de contar con un diseño sostenible con el medio ambiente que se integra maravillosamente con el paisaje que rodea a su arquitectura. Su estructura de madera, sus paneles solares, sus recolectores de agua de lluvia, sus jardines y sus amplias ventanas para el aprovechamiento de luz, hacen de esta biblioteca un verdadero punto de interés para los amantes de los libros y la ecología.

Si no tienes claro que hacer estas vacaciones, ¿por qué no te relajas en este edificio leyendo alguno de sus libros y practicando lo que sabes de chino? ¡No te arrepentirás!

Vacaciones

Foto de cotaro70s

  • Nueva caledonia

VacacionesLa peculiaridad de esta pequeña isla en el sudeste del océano Pacífico no es solo que su lengua oficial sea el francés, al ser una dependencia de la República Francesa, sino que en su reducida extensión de unos 19.000 km2 existen 28 lenguas austronesias. A pesar de que, tristemente, muchas están en peligro de extinción, todavía quedan personas capaces de hablar DrehuNengonePaicîAjiëXârâcùù. Para conocer más detalles sobre los idiomas minoritarios de esta región, puedes consultar este atlas interactivo de las lenguas del mundo en peligro de la UNESCO.

Si te apetece disfrutar de sus paisajes paradisiacos y empaparte de la riqueza lingüística de Nueva caledonia, este es tu destino.

  • Estocolmo

VacacionesSi te apasiona la historia y los idiomas, quizá te interese pasarte por Suecia para aprender algo más sobre el antiguo alfabeto rúnico. El Museo de Historia Sueca de Estocolmo alberga la piedra de Kylver, una roca del siglo V que recoge 24 runas del alfabeto Futhark (aunque no siempre está expuesta de cara al público). Para quien no lo sepa, los alfabetos rúnicos fueron utilizados por distintos pueblos vikingos en Escandinavia y las Islas Británicas y tuvieron un gran impacto en la configuración de los distintos idiomas germánicos que conocemos actualmente.

Si te van los viajes culturales y quieres escapar del insoportable calor del verano, anímate a pasarte por Estocolmo para conocer este museo y toda su cultura lingüística.

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Español en apuros: cómo sobrevivir al alemán

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Es probable que en alguna ocasión hayas visto frustrada tu ilusión de aprender un idioma dada su dificultad, y puede que te hayas preguntado si tenía algo en común con tu lengua materna. Pues bien, a sabiendas de que esta tendencia es muy frecuente entre los estudiantes de alemán, en Local Concept hemos querido dedicar una entrada a este idioma tan especial, y, por desgracia, tan víctima de los estereotipos.

Aunque no podamos decirte que leer esta entrada vaya a amenizar el estudio o tan siquiera a simplificarlo, sí podemos adelantarte que, por lo menos, conseguirá que veas el alemán como algo más cercano.

La herencia germánica más allá del habeas corpus

Si de algo somos conscientes los españoles es de la inmensa diversidad cultural y artística que heredamos de los romanos y los musulmanes durante los siglos de ocupación. No obstante, solemos perder de vista que, entre estas dos etapas, la Península vivió trescientos años de presencia germana.

A partir del siglo III, los pueblos germanos fueron adquiriendo una fuerza vigorosa y poco a poco penetraron en territorios del Imperio Romano. Esto les posibilitó adquirir conocimientos nuevos y entrar en contacto con la lengua franca: el latín. Las relaciones que ambos imperios sostuvieron permitieron a los germanos nutrir su léxico con numerosos vocablos latinos ante todo referentes al comercio, la agricultura, el derecho y la industria. De igual manera, Roma incorporó voces de origen germano como helm ‘yelmo’, burgs ‘ciudad pequeña’, sal ‘sala’, cofea ‘cofia’ o saipo ‘jabón’.

AlemánLlegado el año 409 y casi al tiempo que el rey Alarico se hacía con Roma, diversos grupos de bárbaros procedentes del Rin cruzaron la frontera de los Pirineos y se adentraron en Hispania. Si bien fueron muchos los pueblos germanos con presencia en la Península Ibérica, algunos de ellos desaparecieron al poco tiempo dejando su huella únicamente en topónimos como Puerto del Alano (alanos), Puerto Sueve (suevos) o Campdevánol (vándalos).

De entre todos los pueblos, el visigodo fue el que nos legó mayor herencia léxica, la cual se fundamentó en gran medida en el campo de la onomástica (como son los nombres Álvaro y Fernando). Además, la relación estrecha que habían tenido con Roma desencadenó la difusión de las terminaciones –ez e –iz.

AlemánLa etapa visigoda se caracterizó por ser una época de múltiples cambios. A pesar de ser dominadores sociopolíticos, fueron dominados en materia cultural. Tanto es así que, por ejemplo, Hispania pasó de ser una mera provincia romana a constituirse como España, una nación independiente con tintes germánicos, aunque sobre la base heredada de Roma y del catolicismo. Su intención integracionista se materializó en la elaboración del habeas corpus y en la renegación del arrianismo en el año 589, cuando el rey Recaredo adoptó el catolicismo. Por otra parte, los visigodos trajeron consigo los elementos propios de la tradición épica, como fueron las leyendas y los cantares de gesta.

A medida que se constituyeron los primeros estados germanos, los territorios adoptaron terminología propia de la nueva situación sociopolítica como, por ejemplo, ban, voz de la que deriva «bandido», o andbahti ‘cargo o servicio’ que hoy denominamos «embajada». También heredamos voces ligadas a sus aficiones principales como la música o la equitación (harpa, ‘arpa’ y spaura, ‘espuela’). Además, la transmisión de algunos vocablos germanos en los territorios conquistados favoreció la transferencia léxica en el ámbito militar, de modo que el sustantivo werra (‘guerra’) y el verbo raubôn (‘robar’) ocuparon respectivamente el lugar de bellum y furor.

Pese a que hasta ahora hemos presentado algunos ejemplos de herencia léxica, aún nos queda por abordar uno de los temas que más preocupa a quienes quieren probar suerte con el alemán. Y es que hay quienes dicen que adquirir soltura en esta lengua es prácticamente imposible. Si bien llevan parte de razón dado que se trata de un idioma muy distinto, cabe mencionar que es imprescindible hallar las similitudes entre ambos idiomas y comprender que el alemán, al igual que el español, tiene rasgos que lo hacen único. Solo así evitaremos desvincularlo por completo de nuestra lengua y, por ende, de nosotros, lo que favorecerá el aprendizaje y nos permitirá asimilar conocimientos más rápido.

Dicho esto, vamos a dedicar lo que queda de entrada a una de las características principales del alemán.

Alemán

https://yourdailygerman.com/2012/06/04/function-of-cases/

A diferencia de lo que ocurre en las lenguas romances actuales, el alemán aún emplea declinaciones de modo parecido a como lo hacía el latín. Estas declinaciones varían según la función gramatical que desempeñan los sintagmas o según lo que en alemán se conoce como «casos». El alemán actual (hochdeutsch) cuenta con cuatro casos, herencia de los que empleaba el alemán antiguo (altdeutsch). Estos son el nominativo, el acusativo, el genitivo y el dativo.

Pese a que los casos puedan resultarnos algo extraños de primeras, no lo son tanto. De hecho, aunque en nuestro idioma no existan como tal, los elementos que conforman las oraciones desempeñan funciones equivalentes a las de los casos en alemán. Tanto es así que podríamos afirmar lo siguiente: el nominativo ejerce una función parecida a la del sujeto; por su parte, el acusativo suele corresponderse con nuestro complemento directo y, muchas veces, depende de si el verbo es transitivo; del mismo modo, el genitivo desempeña una función parecida a la del complemento del nombre y suele ir acompañado de una –s final similar a la del genitivo sajón inglés; por último, el dativo suele realizar la función de complemento indirecto y, al igual que el acusativo, depende de las preposiciones que lo rigen.

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¿Se habla español en la publicidad? (Ab)uso del inglés

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Hace tres semanas nos veíamos envueltos en un interesante simposio organizado por la Real Academia Española (RAE) y la Academia de Publicidad (AP), con el patrocinio del Banco Popular, acerca del uso del inglés en la publicidad. ¿O en realidad versaba sobre la ausencia del español en la publicidad? Y es que hubo debate hasta en la nomenclatura del mismo.

españolSea como fuere, los datos allí arrojados fueron, cuando menos, preocupantes. Tal y como comentó el secretario general de la Agencia de Publicidad, Enrique Yarza, en apenas algo más de una década hemos decuplicado el uso de terminología inglesa en nuestros anuncios. En 2003, solo algunos sectores como la automoción, la belleza y la moda hacían uso de ejemplos en inglés; en 2015, más de 320 empresas redactan sus lemas de mercadotecnia recurriendo a la lengua de Shakespeare (con especial mención a la automoción). Sectores como transportes, finanzas, decoración, ocio, gastronomía o cultura se han unido a esta moda –esperemos– pasajera.

No es de extrañar, por tanto, que llevemos a cabo una sesión de brainstorming, controlemos el timing, aportemos feedback y pensemos en nuestro público target. Sin llegar a saber exactamente qué estamos realizando.

Moda pasajera

En los últimos años, se ha producido un cambio generacional en torno a la percepción del español como lengua anclada y del inglés como lengua moderna, atractiva y –por qué no– incluso guay. ¿Motivo? Ninguno. Las modas nunca han tenido razón de ser, se han implantado y se han seguido, sin más. La única explicación posible tras esta moda podría radicar en que creemos que el inglés es la lengua universal. Pero, ¿acaso existe una lengua universal?

Complejo de inferioridad

Según Álex Grijelmo, «el abuso de anglicismos se vincula con un complejo de inferioridad muy hispánico y, además, contribuye a reforzarlo. De ahí que se usen términos en inglés porque se consideran más prestigiosos que los nuestros». Lamentablemente, hay algo de cierto en tal afirmación, aunque depende única y exclusivamente de nosotros el hecho de invertir este pensamiento más o menos generalizado.

Razones económicas

Los más reacios al uso de español podrían llegar a pensar que el motor que impulsa cualquier campaña de publicidad es, simplemente, un resultado económico beneficioso para todas las partes involucradas. De ahí que podamos imaginar que en inglés «se vende» mejor. O no. Pongamos el caso del producto de limpieza Mr. Proper, ahora Don Limpio en España. La remodelación de la zona europea y el libre comercio entre países (y su consecuente guerra de precios por el mismo producto entre diferentes países de la zona euro) dibujaron un escenario insólito en Europa, por lo que su propietaria Protect & Gamble se vio obligada a traducir el nombre en cada país. Al contrario de lo que podríamos imaginar, las ventas del producto bajo la marca Don Limpio han aumentado desde entonces. Quizás se deba a una relación de cercanía o confianza. O quizás no y atienda al siguiente punto.

Estereotipos

Como en cualquier aspecto de nuestras vidas, los idiomas también llevan implícitos ciertos estereotipos. De este modo, los coches se venden en inglés, los perfumes en francés, la moda en italiano, y los productos de limpieza en español. Triste realidad que deberíamos cambiar ipso facto tanto desde instituciones, asociaciones, agencias, organismos gubernamentales como, por supuesto, desde la ciudadanía.

Reflexiones y conclusiones

españolDurante estas tres semanas posteriores al simposio, he pensado largo y tendido sobre mis conclusiones. Mi conclusión es que no hay conclusiones. Desde mi –humilde– punto de vista, cualquier cambio debe empezar con uno mismo.

Así pues, ¿por qué en lugar de centrarnos en el abuso del inglés no lo hacemos en el buen uso del español? ¿Acaso la gente usa el inglés porque es mucho más moderno y joven o porque no conoce la infinidad de sinónimos que presenta el español?

¿Se conoce la riqueza léxica de nuestro idioma? Creo que no. Un ejemplo claro y que vivimos casi a diario es que la publicidad que nos quiere llegar al corazón no se emite en inglés, sino español (y esto lo saben los publicistas).

Habría que cuestionarse, por tanto, ¿por qué nos esforzamos en que nuestros hijos sean bilingües desde bien pequeños? ¿Sabemos discernir realmente cuándo debemos usar el inglés y cuándo el español?

Al fin y al cabo, y en consonancia con las palabras del gran publicista Toni Segarra, ¿estamos seguros de que hay un problema? En otras palabras –y esta aportación es totalmente personal-, ¿hemos enfocado el «problema» de la mejor manera? Un país como España, en el que la convivencia y el mestizaje entre diversas culturas han sido nuestra impronta desde antaño, debe saber aprovechar todos estos elementos, potenciar su idioma y convertir un problema en una solución. Al igual que los publicistas hacen con cada campaña.

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Firma David

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